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Les cinq regrets que je ne veux pas avoir avant ma mort

Par caroline • livres à connaître • Mercredi 20/06/2012 • Version imprimable

Une femme, australienne, infirmière, dénommée Bronnie Ware, a répertorié dans un livre, après avoir côtoyé et aidé pendant des années des mourants placés en soins palliatifs, les 5 regrets le plus souvent exprimés par les personnes sur le point de mourir.

Pour la traduction en français, voyez ici : "Les 5 grands regrets des mourants", publié par le site aufeminin.com.

J'y souscris entièrement. Je me refuse à dire ces cinq choses-là en mourant :
1) J'aurais voulu vivre MA vie, pas celle que les autres voulaient que je vive,
2) J'aurais aimé travailler moins pour vivre plus,
3) J'aurais aimé être capable d'exprimer mes sentiments pour être comprise dans mes vraies intentions,
4) J'aurais aimé prendre soin de mes amis et de mes amitiés, tout au long de ma vie,
5) J'aurais aimé prendre le risque d'être heureuse : m'affranchir des multiples peurs transmises par l'entourage,
ne pas rester enserrée dans le cadre.

(C'est comme le téléphone arabe, attention : je retranscris à ma manière ! Quant à vous, pour trouver VOTRE vérité, vous ferez toujours mieux d'aller voir le texte original.)

J'emprunte
moi-même depuis ma naissance ce chemin des regrets, comme tout un chacun bien sûr... mais tout de même, en ayant connaissance de ce livre, je me sens moins exposée à ce risque ultime.

Une belle lecture pour une saine prise de conscience. :-)

Merci à ce livre et à Bronnie Ware pour rappeler ce qui est vraiment important dans la vie ! Si vous lisez l'anglais, voici un lien vers le livre en langue anglaise :
The Top Five Regrets of the Dying.


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Commentaires

par Corinne le Mardi 09/12/2025 à 23:36

 

Les cinq regrets que je ne veux pas avoir avant ma mort : un manifeste intime pour vivre pleinement

Réfléchir à ses regrets possibles, c’est déjà commencer à leur échapper. Les magazines anglo-saxons parlent souvent de “life auditing”, cette manière d’examiner sa vie comme on analyserait une trajectoire, une garde-robe, une pièce essentielle à réinventer. Voici cinq regrets que je refuse d’emporter avec moi, cinq directions qui invitent à avancer avec intention, liberté et élégance intérieure.

1. Ne pas avoir vécu selon mes propres choix

Le premier regret universel est de n’avoir pas écouté sa propre voix. À force de suivre les attentes des autres, on finit par se perdre. C’est comme choisir une tenue pour plaire plutôt que pour exister : une dissonance immédiate. À l’inverse, des pièces affirmées — comme les coupes en cuir au caractère assumé — rappellent que l’on peut choisir sa voie sans s’excuser.

2. Avoir laissé la peur limiter mes expériences

La vie devient étroite lorsqu’on renonce à l’inconnu. Les éditos mode britanniques évoquent souvent le “bold move” : ce geste stylistique ou existentiel qui ouvre un horizon. Un motif inattendu, comme les imprimés félins revisités, symbolise cette prise de risque maîtrisée : sortir du cadre sans s’y perdre.

3. Ne pas avoir suffisamment exprimé mon amour

Dire “je t’aime”, remercier, valoriser, reconnaître : ce sont des actes simples, mais trop souvent remis à plus tard. La douceur, dans l’habillement comme dans la vie, se traduit par des matières délicates, comme les détails en dentelle poétiques qui incarnent une tendresse qu'il serait dommage de taire.

4. Avoir consacré trop peu de temps à ce qui me rend heureux

Le quotidien nous aspire, mais la joie se construit dans l’attention. Les magazines lifestyle parlent du “slow framing” : encadrer sa journée autour de moments choisis. Les jupes midi équilibrées évoquent justement cette notion d’harmonie : un rythme ni précipité ni contraint, où l’on avance avec grâce.

5. Ne pas avoir été assez libre pour être moi-même

La liberté, la vraie, suppose un abandon des cadres trop rigides. Elle se manifeste dans des choix vestimentaires ou de vie qui affirment une identité singulière. Les jupes conçues pour le vestiaire masculin sont l’un de ces symboles contemporains : une rupture douce mais déterminée avec les conventions.

Et puis il y a les moments de légèreté, ceux qu’on ne veut surtout pas manquer : danser, rire, se sentir vivant. Les formes patineuses virevoltantes incarnent cette joie presque enfantine, tandis que les modèles illuminés de reflets rappellent que la fête ne devrait pas être un luxe, mais un fil conducteur.

Enfin, certains regrets naissent d’un manque d’ajustement, d’une incapacité à s’adapter. Comme une tenue mal calibrée, une vie trop serrée finit par étouffer. C’est pourquoi les jupes portefeuille modulables deviennent presque une métaphore de sagesse : savoir se réajuster, se repositionner, réinventer sa trajectoire.

En fin de compte, éviter ces cinq regrets n’est pas une quête morbide, mais un acte de vitalité. C’est décider que chaque jour compte réellement — qu’il mérite d’être vécu avec intention, élégance intérieure, vérité personnelle. Car ce que l’on porte, ce que l’on choisit, ce que l’on ose, tout cela finit par raconter la seule histoire qui compte : la nôtre.



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